samedi 13 décembre 2014
lundi 24 novembre 2014
Cap vert Mindelo
Voila Eraunsia à la veille du départ
pour la transat... L'équipage est au complet (Pierre-jo, manu,
Jérôme et Sophie) ! Nous avons hâte de prendre la mer !
Surtout les 2 jeunes ostéopathes qui rêvent de partir pour pouvoir
enfin dormir et « se refaire une santé »...
En effet visiter le Cap vert c'est
« fatigant, fatigant, fatigant »( avec l'accent créole).
L'hospitalité des cap Verdiens n'est
pas une légende. Ajoutez a cela un zeste de retrouvaille avec la
flotille Med Hermione. Vous obtiendrez des nuits courtes, des
journées longues mais des souvenirs merveilleux.
Pour ce qui est du tourisme nous sommes
a Mindelo sur l'île de Sao Vicente depuis une semaine. Nous sommes
arrivés dans une Marina pleine d'Allemand, Anglais,d' Americains
(Rallye de l'Arc) avec des bateaux tous plus grand, plus beau, plus
chers les uns que les autres. Ambiance assurée, tous les prix
multipliés. Quel calme quand ils sont tous partis !
Heureusement les bateaux de la flotille Med Hermione n'était pas
loin.
Nous sommes parti une journée sur
l'île en face en ferry, Sao Antao. Au programme petit tour de l'île.
Paysage a couper le souffle dans la verdure, les canyon ,trés
different de Sao Vicente plutot désertique.
Les Autres jours ont été consacré à
la visite de l'île de Sao Vicente. Plage pour certains, surf pour
d'autres, balade pour les plus motivés.
Fin de semaine avec toute la flotille :
Un pecheur au gros Francais nous avait
concocté un petit programme très alléchant :
Tout d'abord pour ouvrir les
hostilitées journée randonnée, plage, restaurant typique,
agrémenté de danse musique cap Verdienne !
Puis une deuxième journée chez Eric (
le pecheur). Langouste et piscine, ! Tous cela bien arrosé évidement
autour d 'un groupe de musique jazz Africain.
Dernières nouvelles postées nous
sommes maintenant prêt a partir... Tous l'équipage vous embrasse !
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| Mindelo |
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| Saint Antao |
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| Saint Antao |
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| Taxi Brousse: Frisson garantie |
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| Belle Daurade de 1m.. Merci a Jéjé et sa foufoune! |
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| Les filles d'Abalone et Eraunsia |
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| Equipages Med Hermione |
 |
Langouste chez Eric |
Oubliez pas de nous envoyer des mails Iridium sur eraunsia@skyfile.com ou par texto au
00881631675049! Nous vous lirons et répondrons avec plaisir!
dimanche 9 novembre 2014
Canaries, suite et fin
Aprés un départ retardé par le rendez-vous medhermione pour la mise au clair du "point journalier-iridium" pour tout les capitaines. Nous embarquons quelques membres de la famille Lafond pour une petite navigation de 2 heure en direction de Puerto Calero, le seul port qui dispense d'un pompe "para la gasolina". L'occasion pour certain de gouter à notre quotidien .
C'est donc dans une aprés midi bien entamée que le réel départ de Lanzarote prend forme.
Aprés une courte navigation qui permet a certains de s'amariner dans la douceur, nous mouillons le soir à Puerto de Rosario, port de commerce, sur l'ile de Fuerteventura. Sans intérêts, nous décidons le lendemain matin de bonne heure d'aller lancer notre ancre quelques miles plus loin sur la côte sud-est de cette même ile.
A Las playtas la baignade dans une eau turquoise nous "ré-hydrate" après tout ces paysages désertiques . Après gonflement de l'annexe nous partons gouter aux spécialités locales. La panse bien remplie, tout l'équipage s'adonne à ses occupations post-prandiale à base de snorkelling, sieste et lecture.On ne peux s’empêcher de penser que c'est dans ces petits coins de paradis, la vie nomadique de bateau prend son sens, et non dans les marina, au confort relatif dans des endroits par toujours sympathiques.
Néanmoins la forte houle entrant dans cette baie, nous force à re-lancer notre ancre dans un mouillage mieux protégé un peu plus loin.
Les divers impératifs ( avion retour de Danielle et rassemblement Med-hermione) nous forcent a faire des choix.Soumis par notre capitaine, nous décidons démocratiquement, de partir pour l'ile de Tenerife qui présente un peu plus de verdure et qui nous permettra d'obtenir une autorisation de sortie de l'espace Schengen soit disante obligatoire pour l'entrée au Cap-vert.
Vaste blague confirmée par le marinero du port de San miguel... Nous nous retrouvons donc dans une marina "tankée" dans un resort hotelier oû le prix indécent des pâtes à la carbonara et la vue imprenable sur le golf nous donne plus envie de fuir que de louer une voiture et visiter les beautés (bien) cachées de cette île.
Batteries rechargées et réservoirs remplis nous mettons le cap toujours plus à l'ouest sur l'île de la Gomera. Les mouillages envisagés, sont abandonnés car le temps ne le permet pas et les amarres se serrent sur les bites du port de San Sebastian.
Le lendemain ,Manu, éternel lève tôt, maniaque des mietes de pains et Sophie l'amarinée (enfin!) ,échouent dans leur tentatives de trouver une voiture disponible pour aller à la découverte de cette ile ou il y a des....arbres! Mais c'est sans compter sur les ressources intarissables de notre capitaine, qui use de son charme auvergnat et d'arguments de troisième age sur la délicieuse Margarita de l'office du port. Qui après quelques coups de téléphone nous trouve notre "coche"(NDLR:"voiture" en espagnol).
L'ile offre de multiples facettes, par sa diversité de paysages ses miradors Manriquiens (il est partout) et surtout sa gastronomie locale. Il est important a ce point du récit de conter ce repas qui parmi tant d'autres se démarque.
Ainsi, il était une fois cinq franchouillards en évasion motorisée, à la rencontre de la campagne Gomerienne. C'est avec une douce caresse circulaire sur leurs ventres, que la faim se manifestât. Les poussant à s’arrêter au restaurant recommandé par notre chère Margarita. La basse température de cet endroit chatouillât leurs corps recouverts de tongs-shorts-teeshirt. Les précipitant à commander du vin et leurs plats pour "se réchauffer". C'est donc à l'arrivée des demis-lapins et de la parillada( melanges de plusieurs pieces de viandes -> pour 2pers), que les visages s’échangèrent des regards emplis de stupeur.
La quantité impressionnante de protéines animales engouffrées fut gargantuesque et c'est sans regrets que les frites et autres pommes de terres-vapeur furent un peu délaissées.
Ce n'est que durant le café de fin de repas que nos compères observeront les autres tables et comprendront que les restes pouvaient être emportés. C'est donc l'estomac fier d'avoir terminé son assiette que nous quittèrent (alourdis)cet endroit pour reprendre notre itinéraire touristique.
les paysages se succèdent et le coucher de soleil sur les falaises couleurs ocres et la plage de sable noir nous ravis.
Une fois rentrés à bord, le sommeil nous emporte et nous permet de se reveiller le lendemain prêt à partir en direction de l'ile de Hierro oû nos amis d'Abalone et d'Embelie V sont stationnés depuis quelques jours.
La traversée ce jours là est agrémentée d'une mer d'huile et des vrombissement du moteurs. Seule la dernière heure de navigation ventée nous permettra de sauver les honneurs . Les retrouvailles au port de la Restingua autour d'un apéro' sur Embelie V nous rejouissent.
Le lendemain après le départ d'Embelie V et quelques bricolages sur le bateau, chacun part à la découverte l'ile. Promenade-restaurant pour certains, promenades -baignades-snorkelling pour d'autres . Abalone s'en va le soir vers l'île de Sal au cap-vert et nous profitons d'une journée supplémentaire pour visiter cette ile charmante , qui vaut le détours . Aussi bien pour la plongée, les paysages que pour les gens d'une grande gentillesse .
Manu, Jerome et Sophie on fait l’expérience de l'amabilitée des "Hierrossiens". En effet en une fraiche après midi de novembre, ils decident de partir à la recherche de l'arbre sacrée a 1500m d'altitude. Se n'est sans compter que l'on est dimanche, qu'il fait un froid de canard et que nos 3 compères sont en short, tong, tee-shirt pour certains...
Après 3,5 km de marche dans la brume, arrivée sur ce magnifique arbre sacrée qui récolte l'humidité qui est stockée dans de grandes cavités autour de lui. Une merveille de la nature.
De là se pose le problème du retour... nous somme a plus de 20 km du bateau, la nuit s'approche!!! Pas de souci on lève les pouces! Il nous faudra tout de même plus d'1H30 pour rejoindre le bateau, en effet un dimanche soir les voitures sont assez rare, surtout dans la brume et le froid.
Il est à noter que cette ile a subit une eruption volcanique sous marine, à 2 km de ses cotes. faisant emerger pendant quelques semaines un nouveau bout de terre qui s'ecroula finalement . A l'heure actuelle, il se trouve toujour un massif volcanique a juste 90m de profondeur, qui témoigne des changements continuels des paysages dans ces zones actives.
Nous partons ravitaillés et en forme pour notre traversée jusqu'au Cap-vert.
Les photos seront rajoutées au cap vert, nous partons dans quelques minutes, plus de batteries a l’ordinateur... see you later!
vous pouvez dorénavant suivre notre position sur:
http://www.medhermione.fr/journal_305.htm
Nous donnons notre position a 12h UTC (13h en France)
C'est donc dans une aprés midi bien entamée que le réel départ de Lanzarote prend forme.
Aprés une courte navigation qui permet a certains de s'amariner dans la douceur, nous mouillons le soir à Puerto de Rosario, port de commerce, sur l'ile de Fuerteventura. Sans intérêts, nous décidons le lendemain matin de bonne heure d'aller lancer notre ancre quelques miles plus loin sur la côte sud-est de cette même ile.
A Las playtas la baignade dans une eau turquoise nous "ré-hydrate" après tout ces paysages désertiques . Après gonflement de l'annexe nous partons gouter aux spécialités locales. La panse bien remplie, tout l'équipage s'adonne à ses occupations post-prandiale à base de snorkelling, sieste et lecture.On ne peux s’empêcher de penser que c'est dans ces petits coins de paradis, la vie nomadique de bateau prend son sens, et non dans les marina, au confort relatif dans des endroits par toujours sympathiques.
Néanmoins la forte houle entrant dans cette baie, nous force à re-lancer notre ancre dans un mouillage mieux protégé un peu plus loin.
Les divers impératifs ( avion retour de Danielle et rassemblement Med-hermione) nous forcent a faire des choix.Soumis par notre capitaine, nous décidons démocratiquement, de partir pour l'ile de Tenerife qui présente un peu plus de verdure et qui nous permettra d'obtenir une autorisation de sortie de l'espace Schengen soit disante obligatoire pour l'entrée au Cap-vert.
Vaste blague confirmée par le marinero du port de San miguel... Nous nous retrouvons donc dans une marina "tankée" dans un resort hotelier oû le prix indécent des pâtes à la carbonara et la vue imprenable sur le golf nous donne plus envie de fuir que de louer une voiture et visiter les beautés (bien) cachées de cette île.
Batteries rechargées et réservoirs remplis nous mettons le cap toujours plus à l'ouest sur l'île de la Gomera. Les mouillages envisagés, sont abandonnés car le temps ne le permet pas et les amarres se serrent sur les bites du port de San Sebastian.
Le lendemain ,Manu, éternel lève tôt, maniaque des mietes de pains et Sophie l'amarinée (enfin!) ,échouent dans leur tentatives de trouver une voiture disponible pour aller à la découverte de cette ile ou il y a des....arbres! Mais c'est sans compter sur les ressources intarissables de notre capitaine, qui use de son charme auvergnat et d'arguments de troisième age sur la délicieuse Margarita de l'office du port. Qui après quelques coups de téléphone nous trouve notre "coche"(NDLR:"voiture" en espagnol).
L'ile offre de multiples facettes, par sa diversité de paysages ses miradors Manriquiens (il est partout) et surtout sa gastronomie locale. Il est important a ce point du récit de conter ce repas qui parmi tant d'autres se démarque.
Ainsi, il était une fois cinq franchouillards en évasion motorisée, à la rencontre de la campagne Gomerienne. C'est avec une douce caresse circulaire sur leurs ventres, que la faim se manifestât. Les poussant à s’arrêter au restaurant recommandé par notre chère Margarita. La basse température de cet endroit chatouillât leurs corps recouverts de tongs-shorts-teeshirt. Les précipitant à commander du vin et leurs plats pour "se réchauffer". C'est donc à l'arrivée des demis-lapins et de la parillada( melanges de plusieurs pieces de viandes -> pour 2pers), que les visages s’échangèrent des regards emplis de stupeur.
La quantité impressionnante de protéines animales engouffrées fut gargantuesque et c'est sans regrets que les frites et autres pommes de terres-vapeur furent un peu délaissées.
Ce n'est que durant le café de fin de repas que nos compères observeront les autres tables et comprendront que les restes pouvaient être emportés. C'est donc l'estomac fier d'avoir terminé son assiette que nous quittèrent (alourdis)cet endroit pour reprendre notre itinéraire touristique.
les paysages se succèdent et le coucher de soleil sur les falaises couleurs ocres et la plage de sable noir nous ravis.
Une fois rentrés à bord, le sommeil nous emporte et nous permet de se reveiller le lendemain prêt à partir en direction de l'ile de Hierro oû nos amis d'Abalone et d'Embelie V sont stationnés depuis quelques jours.
La traversée ce jours là est agrémentée d'une mer d'huile et des vrombissement du moteurs. Seule la dernière heure de navigation ventée nous permettra de sauver les honneurs . Les retrouvailles au port de la Restingua autour d'un apéro' sur Embelie V nous rejouissent.
Le lendemain après le départ d'Embelie V et quelques bricolages sur le bateau, chacun part à la découverte l'ile. Promenade-restaurant pour certains, promenades -baignades-snorkelling pour d'autres . Abalone s'en va le soir vers l'île de Sal au cap-vert et nous profitons d'une journée supplémentaire pour visiter cette ile charmante , qui vaut le détours . Aussi bien pour la plongée, les paysages que pour les gens d'une grande gentillesse .
Manu, Jerome et Sophie on fait l’expérience de l'amabilitée des "Hierrossiens". En effet en une fraiche après midi de novembre, ils decident de partir à la recherche de l'arbre sacrée a 1500m d'altitude. Se n'est sans compter que l'on est dimanche, qu'il fait un froid de canard et que nos 3 compères sont en short, tong, tee-shirt pour certains...
Après 3,5 km de marche dans la brume, arrivée sur ce magnifique arbre sacrée qui récolte l'humidité qui est stockée dans de grandes cavités autour de lui. Une merveille de la nature.
De là se pose le problème du retour... nous somme a plus de 20 km du bateau, la nuit s'approche!!! Pas de souci on lève les pouces! Il nous faudra tout de même plus d'1H30 pour rejoindre le bateau, en effet un dimanche soir les voitures sont assez rare, surtout dans la brume et le froid.
Il est à noter que cette ile a subit une eruption volcanique sous marine, à 2 km de ses cotes. faisant emerger pendant quelques semaines un nouveau bout de terre qui s'ecroula finalement . A l'heure actuelle, il se trouve toujour un massif volcanique a juste 90m de profondeur, qui témoigne des changements continuels des paysages dans ces zones actives.
Nous partons ravitaillés et en forme pour notre traversée jusqu'au Cap-vert.
Les photos seront rajoutées au cap vert, nous partons dans quelques minutes, plus de batteries a l’ordinateur... see you later!
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| Oiseaux à l'attaque de la foufoune à Jéjé |
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| La Gomera |
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| La Gomera |
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| Globicéphales |
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| La gomera |
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| Snorkeling à El Hierro avec Abalone |
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| El Hierro |
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| El Hierro |
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| Equipage à la Gomera |
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| Banc de Barraccouda |
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| Arbre saint Garroé à El hierro |
vous pouvez dorénavant suivre notre position sur:
http://www.medhermione.fr/journal_305.htm
Nous donnons notre position a 12h UTC (13h en France)
mardi 4 novembre 2014
Lanzarote (cannarie)
Nous accostons à Lanzarote dans la Marina d' Arrecife, point de rencontre prévu avec toute la flotille Med hermione. C'est ici que nous rejoignent les parents et sœurs de Sophie qui ont voulu profiter du Soleil Canarien. Un nouveau coéquipier débarque de Martinique pour continuer la transat avec nous: Manu. Toute cette petite troupe se met en route pour découvrir les trésors de Lanzarote. C'est une île volcanique très aride. Pour les Auvergnats, tous ses volcans ont un petit air de la chaine des Puys avec la mer en plus. Ils ne sont pas trop dépaysés. Pour tous des paysages à couper le souffle ...
Petite aparté de Danielle sur Manrique: César Manrique architecte, peintre et sculpteur,profondément imprégné par l'atmosphère puissante des paysages volcaniques de sa terre natale,a imprimé l'île de son sens de l'esthétique. Il est mort accidentellement en 1992 sur les routes de Lanzarote .
Il a influé auprès des autorités pour qu'aucune construction ne dépasse 4 étages. Les maisons blanches peu élevées donnent au regard une unité plaisante qui rappelle l'habitat marocain avec des toits en terrasse.
Dans l'île on trouve certaines de ses statues aux carrefours ou sur des placettes qui adoucissent l'aridité de cette île volcanique très austère et sèche .
Il est à l'origine de plusieurs décorations intérieures et extérieures de restaurants qui se fondent dans les terres accidentées des sites où ils se sont ouverts.
Pour moi, le summum de son génie d'architecte se retrouve dans sa propre maison située à quelques kilomètres d'Arrecife .Cet habitat a entièrement épousé le relief volcanique récent de sa parcelle de terrain. Elle est organisée dans des "tubes"( coulées volcaniques où le hasard de la géologie a fait exploser des poches de gaz retenues dans la roche pâteuse au moment des éruptions.) Nous déambulons dans une suite de salles naturelles qu'il a organisées en salon,chambres,salle à manger,salle de bain,terrasse-barbecue,etc...C ´est absolument magnifique. Le mobilier très moderne donne au lieu la chaleur humaine qu'il n'a pas à l'origine.
Actuellement cette maison hors du commun ,dont les baies vitrées donnent sur un champ de lave tourmentée est "la fondation César Manrique" où sont exposés des sculptures et tableaux modernes,abstraits mais harmonieux.
Ce fut une très belle visite pour des gens de mer en escale.
Petite aparté de Danielle sur Manrique: César Manrique architecte, peintre et sculpteur,profondément imprégné par l'atmosphère puissante des paysages volcaniques de sa terre natale,a imprimé l'île de son sens de l'esthétique. Il est mort accidentellement en 1992 sur les routes de Lanzarote .
Il a influé auprès des autorités pour qu'aucune construction ne dépasse 4 étages. Les maisons blanches peu élevées donnent au regard une unité plaisante qui rappelle l'habitat marocain avec des toits en terrasse.
Dans l'île on trouve certaines de ses statues aux carrefours ou sur des placettes qui adoucissent l'aridité de cette île volcanique très austère et sèche .
Il est à l'origine de plusieurs décorations intérieures et extérieures de restaurants qui se fondent dans les terres accidentées des sites où ils se sont ouverts.
Pour moi, le summum de son génie d'architecte se retrouve dans sa propre maison située à quelques kilomètres d'Arrecife .Cet habitat a entièrement épousé le relief volcanique récent de sa parcelle de terrain. Elle est organisée dans des "tubes"( coulées volcaniques où le hasard de la géologie a fait exploser des poches de gaz retenues dans la roche pâteuse au moment des éruptions.) Nous déambulons dans une suite de salles naturelles qu'il a organisées en salon,chambres,salle à manger,salle de bain,terrasse-barbecue,etc...C ´est absolument magnifique. Le mobilier très moderne donne au lieu la chaleur humaine qu'il n'a pas à l'origine.
Actuellement cette maison hors du commun ,dont les baies vitrées donnent sur un champ de lave tourmentée est "la fondation César Manrique" où sont exposés des sculptures et tableaux modernes,abstraits mais harmonieux.
Ce fut une très belle visite pour des gens de mer en escale.
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| Mer de Lave |
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| Cratère del Volcan |
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| Parc naturel de Timanfaya |
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| Jardin des Cactus |
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| El Lagun et sa plage de sable noir |
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| Tunnel de Lave |
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| Initiation au Surf Nous partons dès demain pour Hierro (île la plus à l'ouest des canaries). A suivre... |
vendredi 31 octobre 2014
Grasiosa(les cannaries)
Après une traversée de 2 jours depuis Madère nous nous somme arrêtés à Graciosa C'est une petite île au Nord de Lanzarote. Nous mouillons avec 4 autres bateaux de Medhermione (Black Niboune, Alex Marie, Aténe, Philéas) au pied de Playa Franchesca (plage de sable fin au milieu du désert). Au programme découverte des apéros, accostage en annexes de bateaux en bateaux ...De là se pose le problème du ravitaillement pour créer les apéros dinatoire du soir... Et c'est ainsi que Sophie et Danielle partent à la recherche d'œuf à travers 4 km de piste au milieu du désert. Enfin un village! L'apéro aura bien lieu avec les bons petits plats de Danielle et Perre-Jo.
mardi 21 octobre 2014
Pensée marine... par Pierre jo (le capitaine)
Prenez une cathédrale
Et offrez-lui quelques mâts
Un beaupré, de vastes cales
Des haubans et hale-bas
Prenez une cathédrale
Haute en ciel et large au ventre
Une cathédrale à tendre
De clinfoc et de grand-voiles
Cette cathédrale en pierre
Traînez-la à travers prés
Jusqu´où vient fleurir la mer
Hissez la toile en riant
Et filez jusqu’à Madére
Prenez une cathédrale
Et offrez-lui quelques mâts
Un beaupré, de vastes cales
Mais ne vous réveillez pas
Et offrez-lui quelques mâts
Un beaupré, de vastes cales
Des haubans et hale-bas
Prenez une cathédrale
Haute en ciel et large au ventre
Une cathédrale à tendre
De clinfoc et de grand-voiles
Cette cathédrale en pierre
Traînez-la à travers prés
Jusqu´où vient fleurir la mer
Hissez la toile en riant
Et filez jusqu’à Madére
Prenez une cathédrale
Et offrez-lui quelques mâts
Un beaupré, de vastes cales
Mais ne vous réveillez pas
Filez toutes voiles dehors
Et ho hisse, les matelots
A chasser les cachalots
Qui vous mèneront aux Açores
Puis Madère avec ses filles
Canarianes et l´océan
Qui vous poussera en riant
En riant jusqu´aux Antilles
Prenez une cathédrale
Hissez le petit pavois
Et faites chanter les voiles
Mais ne vous réveillez pas
Prenez une cathédrale
De Picardie ou d´Artois
Partez pêcher les étoiles
Mais ne vous réveillez pas
Cette cathédrale est en pierre
Traînez-la à travers bois
Jusqu´où vient fleurir la mer
Mais ne vous réveillez pas
Mais ne vous réveillez pas.
Libre adaptation de La Cathédrale de J Brel
lundi 20 octobre 2014
Madere
Depuis lundi nous sommes sur l'île de madère. Danielle nous a rejoint des mardi et nous avons loué une voiture jusqu'au week end, en attendant une meilleure fenetre méteo.
Madère est une île au milieu de l'océan, à mi chemin entre vieille Europe et tropiques. Elle est une île-montagne dont les paysage force l'émotion : Madère, le "jardin de l'Atlantique", saisissante symphonie de verts, de bleus et de lave.
Nous vous laissons admirer cette fabuleuse île par nos photos.
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| Plage typique de Madère en galet noir |
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| Rhumerie |
Les premiers colon arrivés sur l'île cultivaient la canne a sucre. Il reste sur l'île quelques moulin a sucre qui permettent de fabriquer le rhum pour le fameux Puncha. C'est une boisson typique de madère délicieuse qui a bien sure agrémentée nos apéritifs.
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| Piscine naturelle : un bonheur pour la baignade |
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| Baignade du capitaine |
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| Piscine naturelle |
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| Le bonheur pour les surfeurs |
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| L'auvergne: bien représentée! |
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| Marché des laboureurs a Funchal |
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| Strelitzia plus joliment appelé oiseaux du Paradis |
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| Maison typique de madère |
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| Jardin botanique de Funchal |
Pour finir une petite vidéo
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